Nous intervenons rapidement pour assainir et restaurer tous types d’espaces après sinistres, dégâts des eaux, incendies, décès, syndrome de Diogène ou logements insalubres. Notre équipe spécialisée applique des méthodes efficaces et sécurisées pour rendre vos logements, bureaux et commerces de nouveau propres, sûrs et sains.
Lorsqu’un dégât des eaux survient à Paris, qu’il s’agisse d’une fuite dans un appartement haussmannien, d’une infiltration dans une cave ou d’un refoulement d’égout dans un local commercial, l’une des premières inquiétudes concerne l’ampleur des dégâts visibles. Pourtant, ce que l’on ne voit pas immédiatement est souvent plus problématique : l’eau infiltrée dans les matériaux. Cette humidité invisible peut s’installer durablement, provoquer des moisissures, altérer la solidité des cloisons et fragiliser l’ensemble du bâtiment.
L’assèchement technique est donc une opération fondamentale qui consiste à éliminer l’humidité résiduelle dans les murs, sols et plafonds après un dégât des eaux. C’est une démarche qui demande rigueur, méthode et matériel professionnel, car un séchage naturel par aération ou chauffage domestique ne suffit jamais à restaurer un logement à son état initial.
Dans une ville dense et ancienne comme Paris, les sinistres liés à l’eau sont nombreux. Ils touchent aussi bien les immeubles collectifs que les maisons individuelles ou les commerces.
Les canalisations vieillissantes sont une cause récurrente de sinistres. Un simple joint détérioré ou un tuyau en cuivre fissuré peut libérer plusieurs litres d’eau par heure. Dans certains cas, l’écoulement est lent et discret, ce qui rend le problème difficile à détecter avant que les murs ne soient imbibés.
Dans les appartements parisiens, les lave-linge et lave-vaisselle sont souvent installés dans des espaces réduits. Un mauvais raccordement ou une négligence d’entretien entraîne régulièrement des débordements qui se répandent jusque chez les voisins.
Les toitures anciennes, typiques des immeubles parisiens, sont sensibles aux infiltrations. Les fortes pluies et orages accélèrent ce phénomène, particulièrement dans les combles ou les derniers étages.
Les quartiers proches de la Seine et certains arrondissements aux réseaux d’assainissement saturés connaissent des refoulements d’égouts lors de pluies intenses. Les caves et sous-sols sont alors envahis par une eau chargée en polluants nécessitant une désinfection complète.
Un robinet oublié, une baignoire qui déborde, une chasse d’eau bloquée sont des situations simples mais fréquentes, qui provoquent des dégâts conséquents dans des immeubles collectifs où l’eau se propage d’un étage à l’autre.
Un logement ou un local mal asséché peut devenir insalubre en quelques semaines. Les conséquences ne se limitent pas à une simple gêne esthétique mais s’étendent à la santé et à la structure du bâtiment.
Matériaux fragilisés : le plâtre se fissure, les peintures cloquent, le bois gonfle et perd sa solidité.
Moisissures : elles apparaissent rapidement sur les murs humides, dégradant l’air intérieur et provoquant des problèmes respiratoires.
Mauvaises odeurs persistantes : l’odeur de moisi devient difficile à éliminer sans traitement adapté.
Perte de valeur du bien : un logement avec traces d’humidité se revend difficilement.
Risque électrique : l’eau infiltrée dans les gaines peut provoquer des courts-circuits ou des incendies.
Ces risques montrent que l’assèchement ne doit pas être négligé, même après un sinistre apparemment mineur.
Les entreprises spécialisées comme Nova Clean Extreme Paris utilisent des techniques adaptées à chaque situation.
C’est la méthode la plus courante. Elle consiste à aspirer l’air humide, le refroidir pour condenser la vapeur d’eau et restituer un air sec. Ces appareils fonctionnent en continu et réduisent progressivement l’hygrométrie.
Cette méthode plus technique utilise des assécheurs qui retiennent l’humidité grâce à un rotor rempli de matériaux absorbants. Elle est utilisée dans les cas les plus extrêmes, par exemple dans des locaux industriels ou après de fortes inondations.
Des ventilateurs industriels permettent d’accélérer la circulation de l’air pour homogénéiser le séchage.
Le chauffage par soufflage augmente la température et favorise l’évaporation, mais il doit être maîtrisé pour ne pas abîmer les matériaux fragiles.
Chaque méthode est choisie en fonction de la nature du sinistre, du type de bâtiment et du degré d’humidité détecté.
Un assèchement technique ne se résume pas à poser un appareil. C’est un processus structuré, réalisé en plusieurs phases :
Diagnostic initial : mesure du taux d’humidité à l’aide d’hygromètres et repérage des zones les plus touchées.
Mise en sécurité : coupure de l’électricité, déplacement des meubles et protection des zones sensibles.
Pompage et extraction de l’eau : si de l’eau est encore présente, des pompes professionnelles sont utilisées.
Installation des appareils d’assèchement : déshumidificateurs, ventilateurs, chauffages sont placés de façon stratégique.
Suivi régulier : relevés hygrométriques pour ajuster la durée du séchage.
Contrôle final : vérification que l’humidité est revenue à un niveau normalisé.
Nettoyage et désinfection : en cas d’eau souillée, un traitement bactéricide est appliqué.
Dans certains cas, l’eau est contaminée et présente un risque sanitaire. Il est alors indispensable de procéder à une désinfection.
Refoulements d’égouts : l’eau est porteuse de bactéries et de virus dangereux.
Inondations prolongées : l’eau stagnante devient rapidement un foyer microbien.
Locaux alimentaires ou médicaux : une hygiène irréprochable doit être assurée.
Appartements laissés vides après sinistre : si le dégât est découvert tardivement, l’humidité favorise déjà la prolifération de moisissures.
Dans ces cas, l’utilisation de produits désinfectants et antifongiques homologués est incontournable.
Le coût d’un assèchement technique varie en fonction de la gravité du sinistre.
Surface à traiter : une petite salle de bain n’a pas le même coût qu’un local commercial de 200 m².
Durée du séchage : certains appareils doivent fonctionner plusieurs semaines.
Niveau de saturation : plus l’eau est présente longtemps, plus l’intervention est complexe.
Besoin de désinfection : une étape qui peut représenter un surcoût.
En général, les prix se situent entre 500 et 5000 euros. La bonne nouvelle est que la majorité des assurances habitation couvrent ces frais. La clé est de déclarer le sinistre rapidement, de conserver toutes les preuves (photos, factures) et de faciliter l’expertise.
En attendant l’intervention des professionnels, certains gestes peuvent limiter les dégâts :
Fermer l’arrivée d’eau dès la découverte du sinistre.
Couper le courant si l’eau touche des prises ou câbles électriques.
Éponger au maximum l’eau avec des serpillières ou aspirateurs à eau.
Déplacer les objets fragiles ou de valeur.
Aérer si les conditions climatiques le permettent.
Documenter le sinistre avec des photos pour l’assurance.
Ces gestes ne remplacent pas l’assèchement mais permettent de réduire l’impact global.
Une fuite de ballon d’eau chaude a imbibé le plancher. Les équipes ont installé plusieurs déshumidificateurs pour trois semaines, évitant ainsi le remplacement complet du parquet.
Un dégât des eaux causé par un voisin a touché 150 m² de surface commerciale. L’intervention rapide a permis de rouvrir la boutique en cinq jours, limitant les pertes financières.
Après un orage, une cave a été envahie par des eaux d’égout. Le pompage a été suivi d’une désinfection complète pour éviter les risques sanitaires.
Un assèchement technique peut être évité si certaines précautions sont prises en amont :
Vérifier régulièrement l’état des joints et canalisations.
Entretenir la toiture et les gouttières.
Installer des détecteurs de fuite connectés.
Ne jamais laisser fonctionner un lave-linge en votre absence.
Déclarer rapidement tout petit dégât pour éviter qu’il ne s’aggrave.
Un assèchement réalisé par des professionnels permet d’assurer un séchage complet et contrôlé. Nova Clean Extreme Paris dispose du savoir-faire, des appareils adaptés et de l’expérience pour traiter tous types de sinistres, qu’il s’agisse d’un appartement, d’un commerce ou d’un local sensible.