Nous intervenons rapidement pour assainir et restaurer tous types d’espaces après sinistres, dégâts des eaux, incendies, décès, syndrome de Diogène ou logements insalubres. Notre équipe spécialisée applique des méthodes efficaces et sécurisées pour rendre vos logements, bureaux et commerces de nouveau propres, sûrs et sains.
Un sinistre est un événement brutal qui modifie instantanément le quotidien. Dans une ville dense et vivante comme Paris, où la cohabitation entre logements anciens, bâtiments classés et immeubles modernes est la règle, la survenue d’un incendie, d’une inondation ou d’un vandalisme entraîne non seulement des dégâts matériels mais aussi des perturbations humaines et professionnelles majeures.
Le nettoyage après sinistre est une étape incontournable de la remise en état. Il ne s’agit pas seulement de rendre un lieu présentable, mais de restaurer un environnement sûr, décontaminé et habitable. L’importance de cette étape est souvent sous-estimée par les victimes qui pensent parfois qu’un ménage classique suffit. Or, derrière des murs noircis ou des sols imprégnés d’humidité se cachent des résidus toxiques, des risques sanitaires et des dégradations invisibles à l’œil nu.
À Paris, la complexité s’ajoute avec des contraintes urbaines particulières : accès difficiles aux étages supérieurs, circulation dense retardant l’arrivée des secours ou encore architecture ancienne où les réseaux électriques et de plomberie ne sont pas toujours conformes aux normes modernes. Ces spécificités rendent le recours à une entreprise spécialisée indispensable.
Le quotidien des Parisiens illustre la diversité des sinistres possibles. Quelques cas emblématiques permettent de mieux comprendre les réalités du terrain.
Un incendie dans un appartement du 6e arrondissement : un sèche-linge défectueux a provoqué un départ de feu dans une buanderie. Les flammes ont été rapidement maîtrisées mais la fumée a recouvert les plafonds d’une suie grasse et toxique. Le nettoyage a nécessité un traitement spécifique des textiles et une désodorisation de longue durée.
Un dégât des eaux dans un immeuble haussmannien du 9e : une colonne d’évacuation fissurée a inondé plusieurs appartements. Les parquets en bois massif ont commencé à gondoler et les plâtres des plafonds se sont effrités. Un séchage intensif a dû être mis en place avant d’entreprendre les réparations.
Un vandalisme dans une boutique du Marais : après une manifestation, plusieurs vitrines ont été brisées et l’intérieur du magasin a été recouvert de tags. Le nettoyage a nécessité un décapage spécialisé pour éliminer les graffitis sans abîmer les matériaux nobles comme la pierre et le bois.
Une inondation de cave dans le 13e arrondissement : à la suite de fortes pluies, l’eau est montée à plus d’un mètre dans les sous-sols. Les cartons, archives et mobilier stockés ont été détruits et une désinfection anti-bactérienne a été indispensable pour éviter les risques sanitaires.
Un incendie dans un appartement parisien ne produit pas seulement des flammes. La fumée se propage dans les gaines techniques, noircissant les parties communes. Les particules de suie acides attaquent rapidement le plâtre, les métaux et les peintures. Le protocole de nettoyage inclut souvent :
aspiration des suies avec un aspirateur à filtration absolue HEPA,
lessivage alcalin pour neutraliser l’acidité,
traitement anti-odeurs par générateurs d’ozone,
repeinture après application d’un fixateur neutralisant.
Les dégâts des eaux à Paris sont courants, notamment dans les immeubles haussmanniens. L’eau s’infiltre dans les cloisons en plâtre, favorise la prolifération des moisissures et détériore les planchers en bois. Le traitement passe par :
pompage et assèchement avec déshumidificateurs professionnels,
application de biocides pour éviter les moisissures,
remplacement des matériaux irrécupérables.
Les interventions après squat nécessitent un protocole sanitaire strict. On retrouve souvent :
déchets en décomposition,
seringues usagées,
odeurs persistantes liées à l’urine et aux moisissures.
La décontamination implique :
évacuation des déchets avec filière spécialisée,
désinfection bactéricide et virucide,
désodorisation par nébulisation.
Norme NF EN 1822 : définit les performances des filtres HEPA utilisés lors des aspirations de suie et poussières fines.
Norme NF T72-281 : encadre l’efficacité des procédés de désinfection par voie aérienne.
Normes ISO 9001 et 14001 : certaines entreprises certifiées garantissent une qualité de service et un respect de l’environnement.
Respect des règles de sécurité du Code du travail pour la protection des techniciens (port d’EPI, gestion des produits chimiques).
Respect des procédures de tri et d’évacuation des déchets selon la réglementation française (ex. : DASRI pour seringues retrouvées dans un squat).
Déclaration obligatoire à l’assurance et parfois au syndic en cas de sinistre collectif dans un immeuble parisien.
Les causes des sinistres dans la capitale sont multiples, certaines étant liées aux infrastructures vieillissantes, d’autres à des comportements humains ou encore aux conditions climatiques.
Vieillissement des installations : dans de nombreux immeubles parisiens construits au XIXe siècle, les installations électriques sont obsolètes. Les risques de court-circuit ou d’échauffement des câbles sont fréquents.
Canalisations vétustes : les colonnes d’évacuation et les réseaux d’eau usés provoquent régulièrement des fuites massives.
Climat extrême : les épisodes de pluies intenses ou de crues de la Seine fragilisent des zones entières de la ville, notamment les quartiers bas situés en bordure de fleuve.
Accidents domestiques : un fer à repasser oublié, une friteuse laissée allumée ou une bougie posée trop près d’un rideau sont des causes récurrentes d’incendies.
Actes de malveillance : vandalisme, squats, intrusions avec dégradations matérielles et salissures.
Un nettoyage après sinistre à Paris ne s’effectue pas avec des produits ménagers classiques. Les professionnels utilisent des gammes spécifiques :
Détergents alcalins : neutralisent les dépôts acides de la suie.
Fongicides et biocides : empêchent la prolifération des champignons et bactéries.
Encapsulants anti-odeurs : bloquent les molécules odorantes dans les matériaux poreux.
Ozoneurs et nébuliseurs : pour traiter l’air ambiant et désodoriser en profondeur.
Le matériel comprend aussi :
aspirateurs industriels avec filtres HEPA,
injecteurs-extracteurs pour textiles et moquettes,
déshumidificateurs à forte capacité,
équipements de protection individuelle (combinaisons, gants, masques FFP3).
Déclaration du sinistre : doit être faite dans les 5 jours ouvrés auprès de l’assureur.
Expertise : un expert mandaté par l’assurance évalue les dégâts et propose une indemnisation.
Conservation des preuves : photos, vidéos, factures de biens endommagés.
Devis d’une entreprise spécialisée : pièce maîtresse pour obtenir une prise en charge adaptée.
Documenter chaque étape du nettoyage avec des photos avant/après.
Conserver tous les justificatifs des interventions.
Négocier avec l’expert en démontrant les risques sanitaires si l’assurance minimise la gravité.
Certaines situations ne peuvent se résoudre par un simple nettoyage classique. La décontamination est indispensable lorsque des risques sanitaires existent.
Après un incendie : la suie contient du carbone, des hydrocarbures aromatiques polycycliques et d’autres résidus chimiques dangereux. Ces particules pénètrent dans les tissus et les matériaux poreux.
Après une inondation : l’eau stagnante est souvent chargée de bactéries, de boues et parfois de produits chimiques provenant des égouts.
Après un squat : présence de déchets, d’excréments, de seringues ou de moisissures pouvant provoquer des infections ou allergies.
Après un vandalisme chimique : peinture projetée, produits corrosifs, huiles ou graisses renversées nécessitant des procédés spécifiques.
Le coût d’une intervention varie selon plusieurs critères.
Surface à traiter : plus le logement ou le local est grand, plus l’intervention sera longue et coûteuse.
Nature du sinistre : un dégât des eaux simple coûtera moins cher qu’un incendie lourd.
Degré de contamination : une cave légèrement humide n’aura pas le même prix qu’une cave inondée avec boues et moisissures.
Délais d’intervention : une intervention d’urgence en pleine nuit entraîne un surcoût.
Matériaux présents : parquet massif, pierre de taille, moquette, tissus délicats nécessitent des traitements spécifiques.
À titre indicatif :
Pour un dégât des eaux simple : entre 500 et 1500 euros selon la surface.
Pour un incendie dans un appartement : entre 2000 et 10 000 euros selon l’ampleur des dégâts.
Pour un commerce vandalisé : entre 800 et 5000 euros en fonction des nettoyages et réparations nécessaires.
Ces prix restent des estimations et un devis précis est toujours établi avant intervention.
Quelques données permettent de mieux mesurer l’ampleur des risques :
Incendies domestiques : en moyenne, 20 incendies sont signalés chaque jour en Île-de-France, dont une majorité à Paris.
Inondations : la crue centennale de la Seine pourrait toucher près de 5 millions d’habitants en région parisienne, selon l’OCDE.
Dégâts des eaux : ils représentent plus de 35 % des sinistres indemnisés par les assurances habitation en France, Paris étant la première ville concernée.
Cambriolages et vandalisme : près de 40 faits sont enregistrés chaque jour dans la capitale.
Ces chiffres démontrent que le risque n’est pas marginal et qu’il concerne tous les habitants et professionnels.
Agir rapidement et avec méthode permet de limiter les conséquences.
Sécuriser les lieux en coupant les arrivées d’eau, d’électricité et de gaz.
Contacter les pompiers ou les services d’urgence si nécessaire.
Prévenir son assurance dans les cinq jours ouvrés.
Documenter les dégâts avec photos et vidéos.
Faire appel à une entreprise de nettoyage spécialisée avant toute remise en état par un artisan.
Conserver tous les justificatifs pour l’indemnisation.
Faire vérifier son installation électrique par un professionnel certifié tous les 10 ans.
Installer des détecteurs de fumée obligatoires dans chaque logement.
Entretenir régulièrement ses canalisations et surveiller les joints.
Éviter de stocker des biens sensibles dans les caves sujettes aux inondations.
Mettre en place une alarme et un système de vidéosurveillance pour limiter le vandalisme.
Appartement sinistré dans le 16e arrondissement : après un incendie électrique, 120 m² ont été traités. Les plafonds noircis ont été lessivés avec des produits alcalins, et les textiles ont été désodorisés par ozone. Durée de l’intervention : 10 jours.
Local commercial dans le 2e arrondissement : après un dégât des eaux provenant d’une fuite d’immeuble voisin, la moquette a été remplacée et un traitement antifongique a été appliqué sur les cloisons.
Bureaux dans le 8e arrondissement : suite à un squat, 300 m² ont été désinfectés, les mobiliers souillés évacués et une désodorisation complète réalisée.
Crue de la Seine en 2018 : une société de services installée en bord de Seine a vu son sous-sol envahi par 80 cm d’eau. Les archives papier ont dû être éliminées, le local désinfecté et un séchage intensif réalisé sur plusieurs semaines.
Hôtel du 1er arrondissement : après un départ de feu dans une chambre, l’établissement a dû fermer trois étages le temps du nettoyage. Grâce à une intervention en 48h avec traitement par ozone, l’hôtel a pu rouvrir rapidement et limiter ses pertes économiques.
Bureaux de start-up dans le 10e arrondissement : après un squat, l’entreprise a retrouvé des seringues, des déchets et une forte odeur. L’intervention a nécessité un protocole de bio-nettoyage complet avec désinfection virucide et remplacement partiel du mobilier.
Une entreprise implantée localement connaît les contraintes de circulation, les règles de copropriété, les particularités architecturales. Cette connaissance du terrain permet d’intervenir plus vite et de coordonner efficacement les travaux avec les syndics, les artisans et les assureurs.
Lorsqu’un sinistre survient, il est essentiel de réagir vite. Avoir les bons numéros sous la main peut vous faire gagner un temps précieux et limiter les dégâts. Voici les principaux contacts à connaître à Paris :
Numéros d’urgence
Pompiers de Paris : 18
Police Secours : 17
SAMU (urgence médicale) : 15
Numéro d’urgence européen (valable partout) : 112
Gaz urgence GRDF : 0 800 47 33 33 (gratuit depuis un poste fixe)
Enedis dépannage électricité : 09 72 67 50 75
Institutions locales
Préfecture de Police de Paris : informations et accompagnement après incendie, inondation ou catastrophe naturelle.
Mairie de Paris : aide aux démarches administratives et cellules de crise en cas d’événement majeur.
Agence de l’eau Seine-Normandie : informations en cas de risque ou de crue de la Seine.
Associations d’aide aux sinistrés
Croix-Rouge Française : relogement d’urgence, aide alimentaire, vêtements.
Secours Populaire et Secours Catholique : accompagnement matériel et humain.
Fondation Abbé Pierre : soutien pour les personnes fragilisées par la perte de logement.
Ces informations peuvent être présentées sous forme de tableau clair ou de liste interactive pour faciliter l’accès immédiat.
Pour mieux comprendre le déroulement d’un nettoyage après sinistre, voici quelques exemples concrets d’interventions réalisées dans la capitale :
Incendie dans un appartement du 11e arrondissement
Un feu de cuisine a dégagé une fumée épaisse qui a noirci les plafonds et imprégné les textiles. Après sécurisation, l’équipe est intervenue avec un aspirateur HEPA pour retirer les suies, puis a appliqué un produit alcalin pour neutraliser l’acidité. Un traitement par ozone a ensuite éliminé les odeurs de brûlé persistantes. Le logement a été rendu habitable en moins d’une semaine.
Inondation de cave dans le 13e arrondissement
Après de fortes pluies, une cave a été envahie par 70 cm d’eau boueuse. L’intervention a consisté à pomper les eaux, désinfecter les surfaces avec un biocide et mettre en place des déshumidificateurs puissants. Les habitants ont pu récupérer rapidement un espace sain, évitant la prolifération de moisissures.
Vandalisme d’une boutique dans le Marais
Une vitrine brisée et des murs recouverts de graffitis ont nécessité une remise en état complète. Les tags ont été enlevés par un décapage adapté à la pierre et au bois, sans détériorer les matériaux d’origine. Le magasin a pu rouvrir dès le lendemain, limitant ses pertes commerciales.
Un sinistre entraîne souvent des termes techniques pas toujours simples à comprendre. Voici un lexique pour aider les sinistrés à mieux suivre les interventions :
Suie acide : dépôt noirâtre issu de la combustion, très corrosif pour les métaux et dangereux pour la santé.
Désodorisation par ozone : procédé qui détruit les molécules responsables des mauvaises odeurs après incendie ou inondation, en diffusant de l’ozone dans l’air.
Biocide : produit utilisé pour éliminer bactéries, champignons et virus sur les surfaces contaminées.
Fongicide : traitement spécifique qui empêche la croissance de moisissures, particulièrement après un dégât des eaux.
Encapsulant : produit appliqué sur les murs et plafonds pour bloquer les particules résiduelles de suie et éviter la réapparition d’odeurs.
Déshumidificateur professionnel : appareil qui absorbe l’excès d’humidité dans l’air pour accélérer le séchage des locaux sinistrés.
Aspiration HEPA : système d’aspiration doté de filtres très fins capables de retenir 99,97 % des particules microscopiques (suies, poussières toxiques).
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Demande devis de nettoyage suite sinistre:
Avenue Kléber 75116 Paris
Bonjour,
Comme vous pouvez le constater sur la photo jointe, suite à une fuite d'eau, une partie de la moquette a été tachée. La surface concernée est d’environ 1,5 m2. Nous souhaiterions un devis pour le nettoyage après dégât des eaux de la surface en question s’il vous plait.
Rue Daubenton, Paris 75005
Suite à un gros dégât des eaux dans mon appartement de 64m2, des travaux ont eu lieu, je souhaite un nettoyage complet, y compris intérieur des placards, beaucoup de poussière après ponçage, 4 vitres recto verso.